Jeudi 16 février, la Saeima a soutenu la prorogation de l’état d’urgence dans zone frontalière entre la Lettonie et la Biélorussie. 

Jeudi 2 février, la Saeima a approuvé, en lecture finale et à titre d’urgence, les amendements prorogeant le délai requis pour la dissolution de l’Administration portuaire de Riga et de celle de Ventspils.

La Lettonie et la Pologne partagent des liens historiques et notre sécurité est étroitement liée. La coopération stratégique entre la Pologne et les États baltes est particulièrement importante dans le nouveau contexte géopolitique, a fait valoir M. Edvards Smiltēns, Président de la Saeima, en accueillant M. Andrzej Duda, Président de la Pologne, mercredi 1er février à la Saeima. Le Président de la République de Pologne est en visite officielle en Lettonie.

Au cours de ses 14 années d’existence, environ 26 000 personnes ont visité le Centre d’accueil et d’information.

La sous-commission des sports auprès de la Commission de l’éducation, de la culture et de la science de la Saeima a condamné, vendredi 27 janvier, la déclaration du Comité international olympique (CIO), selon laquelle les athlètes russes et biélorusses ne devraient pas être empêchés de participer aux compétitions internationales, mais devraient être autorisés à concourir en tant qu’athlètes neutres, sans représenter leur pays ou leur fédération sportive.

Vendredi 27 janvier, M. Edvards Smiltēns, Président de la Saeima, s’est adressé aux chefs des missions diplomatiques lettones et les a remerciés pour leur importante contribution à la représentation des intérêts nationaux à l’étranger. L’an dernier, le rôle des affaires étrangères dans la société s’est considérablement accru. Nous avons tous constaté que les processus qui se déroulent hors des frontières nationales affectent tout le monde. Toutefois, cette période a également donné aux États baltes, notamment à la Lettonie, l’occasion d’être une voix plus entendue et d’exercer une influence plus importante sur les processus internationaux, a-t-il fait valoir.

"Conscients de la pression à laquelle la Moldavie est confrontée du fait de la politique étrangère agressive menée par la Russie, nous apprécions la résilience de Chisinau face aux pratiques manipulatrices de la Russie et, nonobstant cela, la capacité de la Moldavie à poursuivre la mise en œuvre des réformes", a fait valoir Mme Zanda Kalniņa-Lukaševica, adjointe du Président de la Saeima et cheffe de la délégation lettone à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), à Strasbourg.

“Si nous voulons préserver nos valeurs, la force du droit et notre mode de vie, nous devons être conscients que notre champ de bataille est d’attirer davantage l’attention de la communauté internationale sur l’agression menée par la Russie; et soutenir la mise en œuvre de la responsabilité de la Russie. L’unité dans l’action et l’unité de nos objectifs dans notre politique étrangère relève de la sécurité nationale. La politique étrangère ne relève pas uniquement de la compétence des diplomates. Nous sommes tous les diplomates”, a fait valoir M. Edvards Smiltēns, Président de la Saeima, rappelant que la liberté, l’indépendance et la démocratie ne sont jamais gratuites, lors du débat annuel sur la politique étrangère qui a eu lieu au parlement, jeudi 26 janvier.

La sécurité, la durabilité et la participation de la société civile, ce sont trois domaines prioritaires de la politique étrangère dans les affaires européennes, a fait valoir M. Andris Sprūds, président de la Commission des affaires européennes de la Saeima, lors du débat annuel sur la politique étrangère, qui a eu lieu au parlement, jeudi 26 janvier.

“La diplomatie parlementaire est une clé pour résoudre des problèmes complexes tels que le terrorisme international, la crise des réfugiés et des migrants, les conflits gelés et brûlants et la crise institutionnelle, des problèmes mondiaux nécessitant une réponse multilatérale et globale,” a affirmé M. Rihards Kols, président de la Commission des affaires étrangères, lors du débat annuel sur la politique étrangère à la Saeima, jeudi 26 janvier, en soulignant que les crises ont montré clairement que nous vivons désormais dans un monde façonné par la politique de force brutale”.